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Jamais sans mon topo-guide ?
Bien que certains pensent (à
mon avis à tort) que le topo-guide tue la
découverte, il demeure l'outil indispensable d'une
rando réussie. Loin de vous limiter à un
trajet préétabli, il offre souvent à
son utilisateur un choix suffisant de variantes ou de
combinaisons différentes tout en présentant
une série de points de repères fixes. Parce
qu'ils sont généralement bien conçus,
vous y trouverez tout ce qu'il faut pour randonner avec un
minimum de tracas et et maximum de plaisir. (Et dire que je
ne gagne pas un rond en faisant cette pub !).
Depuis le petit détour vers ce qu'il y a de chouette
à voir hors du sentier strictement balisé, en
passant par les ressources disponibles (train, bus,
ravitaillement, logement ...) jusqu'à la
documentation historique, il permet de préparer au
mieux son itinéraire.
Rien ne vous empêche cependant de chercher d'autres
sources d'informations qui ne manquent pas, tant dans les
librairies spécialisées que dans certaines
grandes surfaces.
De plus il présente l'avantage de contenir des cartes
relativement lisibles vous évitant par-là de
devoir vous procurer une volée de cartes IGN au
1/25.000 quand ce n'est pas vraiment nécessaire.
Sachez toutefois qu'il est toujours utile de vérifier
l'actualité des informations qu'il contient. Il
arrive parfois qu'un sentier balisé présente,
avec le temps, des changements qui ne sont pas toujours
négligeables. Ainsi, pour les GR belges, on aura tout
avantage à visiter la rubrique mise-à-jour de
la page des Sentiers de Grande Randonnée.
Jusqu'à présent, je n'ai eu qu'à me
réjouir de l'existence des topo-guides que j'ai
utilisés.
Pour vous procurer des topo-guides, consultez les pages suivantes:
Le site des Sentiers de Grande
Randonnée de Belgique Grote Routepaden (SGR en
néerlandais) Réseau Autonome de Voies
Lentes Le site de la Fédération
Française de Randonnée
Pédestre La Chamina, centrée principalement sur
l'Auvergne Guide multimédia sur CD-ROM proposant 40
randonnées interactives en Haute-Savoie avec
plus de 700 photos. Possibilité de
découvrir une galerie photos, de
télécharger une démo et un
écran de veille. Si vous lisez ces pages et publiez
également des topo-guides, faites-moi
parvenir votre adresse internet accompagnée
de votre logo, je compléterai ainsi cette
liste.
Et les cartes ?
A vous de voir. Dire que l'on peut toujours s'en passer me paraît être une hérésie. Dire qu'elles sont toujours indispensables n'est guère plus raisonnable. Tout dépendra essentiellement de deux choses:
- l'actualité du topo-guide de référence et de ses mises-à-jour,
- la difficulté de lire le terrain sur lequel on marche.
Il ne m'arrive que très rarement d'utiliser des cartes au 1/25.000. Par contre j'aime vérifier toute une série de choses sur des cartes au 1/50.000. Par exemple la distance ou la difficulté qui me séparent d'un endroit où je voudrais absolument passer et qui est relativement éloigné de mon itinéraire initial. Mais dans mes randos d'un jour (essentiellement en Belgique où l'on n'est jamais bien loin d'un lieu habité) je n'emporte généralement aucune carte, le topo-guide étant suffisamment complet. Quand c'est le cas, il s'agit plutôt d'un garde-fou lorsque nous organisons une petite "récréation" pour et avec nos étudiants.
Pour vous procurer des cartes, consultez les pages suivantes:
Institut National Géographique
(Belgique) Institut National Géographique
(France) Editions Didier Richard Si vous lisez ces pages et publiez
également des cartes pouvant être
utiles aux randonneurs, faites-moi parvenir votre
adresse internet accompagnée de votre logo,
je compléterai ainsi cette liste.
